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Affichage des messages du octobre, 2021

Violence Conjugale – 10ième partie

  Violence conjugale (suite)   Les média s sociaux jouent un rôle très important dans la propagation de ces idées. Même si les idéologues, les plus radicales se font des groupes privés, force est de constater que les idéologues se propagent plus rapidement. En effet, la nature des réseaux sociaux, leur architecture réticulaire basé sur le partage horizontal et libre de s  échanges entre personnes, permet de donner une voix à des propos haineux,  qui étaient autrefois invisibles  par  les médias traditionnels. La radicalisation des individus est d’une facilité par cette accessibilité à des contenus haineux.  Et comment est-ce possible de lutter contre ces mouvements? La justice est nécessaire pour contrer ce genre de mouvement, surtout lorsqu’il y a des propos haineux. Par contre, il faut renforcer l’efficacité des dispositifs pour lutter contre la haine, misogyne, raciste, homophobe transphobe sur internet.    Il y a évidemment des défis à ce...

Violence Conjugale – 9ième partie

Violence conjugale (suite)   Le Néo-féminisme   La poussée du néo féminisme  normal  : qui s’oppose au féminisme, même le plus radical risque de passer pour l’ennemi des femmes. Alors, on se tait, mais on se tait tout n’est pas à célébrer dans ce féminisme nouveau genre.     Masculinité : On est en droit de s’inquiéter d’une de ses dimensions les plus inquiétantes, soit la haine de l’homme, traité souvent comme l’ennemi, et même comme attribut archaïque appelé à disparaître. Le néo féminisme propose en fait la déconstruction de toute la représentation traditionnelle de ce que l’homme doit être,   cette représentation de la masculinité, le néo féminisme nous invite à la déconstruire, comme si elle nous pourrissait la vie depuis des siècles. Un homme serait une créature toxique. La masculinité serait une maladie mentale.   De là d’ailleurs, la valorisation de l’androgyne et de tout ce qui, de près ou de loin, favorise la féminisation du masculi...

Violence Conjugale – 8ième partie

  Violence conjugale (suite)   Le Me  Too   Ces hommes qui crient à l’injustice, dépouillés de leurs privilèges par les féministes et leurs appels à l’égalité. Ils se disent en crise de la masculinité qui n’est rien d’autre qu’un mythe comme disait l’autre.    Les tenants de ce discours prétendent que les hommes ont  reçu le féminisme de plein fouet , que l’ordre masculin est  à jamais renversé  et que nous assistons à la  fin du   patriarca t. Cette propagande  masculiniste  est une construction fallacieuse qui ne passe pas l’épreuve des faits. Même si on considère que nous sommes une société progressiste, il est faux de croire que l’égalité entre les sexes est une valeur fondamentale du Québec. Il y a encore énormément de lieux de pouvoir où les hommes sont majoritaires. En guise d’exemple pour déboulonner ce mythe, je vous rappelle que parmi les 193 pays membres de l’ONU, 18 seulement sont gouvernés par des femmes. Ce s...

Violence Conjugale – 7ième partie

Violence conjugale (suite)   Révolution sexuelle     Rappelons pour mémoire, que la grande révolution sexuelle des années 1960 fut qualifiée de libératrice. Fini la morale religieuse, terminer les péchés d’impureté et la domination des Mâles sur les femmes. Ces dernières, pilule anticonceptionnelle en lieu et place des rouges à lèvres, accédaient à leur sexualité en devenant les reines de leurs propres désirs et les Maîtresses avant tout de leur corps. Trop de gens refusent de reconnaître que le désir sexuel est par nature violent et qu’en conséquence on doit le contrôler. D’où le rôle du sentiment amoureux qui enveloppe l’acte sexuel. Notons que la morale religieuse encadre strictement les actes sexuels. Mais les religions mettent dans l’ombre le rapport de force qui s’exerce sexuellement à l’avantage de l’homme.   Le début de la révolution des  incels  (célibataires involontaires) Un appel au soulèvement des hommes victimes des féministes, en d’autres mot...

Violence Conjugale – 6ième partie

Violence conjugale (suite)     L’angoisse des hommes     Une étude conclut  que presque  trois  hommes sur  quatre  sont confus quant à l’attitude à adopter face aux femmes de l’après-féminisme. L’étude note que les hommes veulent se montrer plus ouverts à des relations égalitaires, mais craignent de perdre, ce faisant, leur masculinité. Aussi y-a-t-il souvent contradiction entre ce que les hommes font et ce qu’ils disent vouloir faire, tiraillés comme nous le sommes entre les anciens et les nouveaux modèles masculins.   Cette confusion et cette insécurité découlent de transformations sociales et culturelles, qui ont bouleversé les principales sources de l’identité masculine. Le travail, le pouvoir, la famille et même l’apparence physique et la sexualité de l’homme se sont modifiés. Ces changements ont non seulement exigé des adaptations de la part des hommes, mais encore ont-ils changé la notion même de masculinité.      ...