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Affichage des messages du mars, 2025

Violence Conjugale – 186ième partie

  Violence conjugale (suite)   Comme je l’ai mentionné plus haut, vous avez opté pour un mode de vie qui vous a amené à cette relation de couple perturbée. Vous avez choisi les sentiments, les idées et les comportements qui engendrent des souffrances dans votre couple. Vous avez choisi vos sentiments, vos idées et vos comportements comme vous avez certainement choisi vos vêtements que vous portez, la voiture que vous conduisez et la compagnie pour laquelle vous travaillez. Vous avez choisi ces sentiments, ces idées et ces comportements parce que d’une certaine manière, ils fonctionnent pour vous. D’une certaine manière, ces caractéristiques ou ces modèles d’interaction vous ont fourni des gratifications qui ont encouragé la réapparition de ces comportements. Si vous êtes en mesure d’identifier ces gratifications ou ces récompenses, vous aurez découvert ce qui fait continuellement réapparaître vos comportements destructeurs. Une fois ces gratifications identifiées, vous pourrez...

Violence Conjugale – 185ième partie

  Violence conjugale    1.      Se faire comprendre : Parler des langues différentes peut évidemment entraîner des problèmes de traduction dans le couple. C’est pourquoi, il est important que chacun nomme ce qu’il lui faut pour se sentir aimé. Attention, cependant, à la manière.  Dire « Tu ne me dis jamais que tu m’aimes » sonne comme un reproche. « L’autre aura alors tendance à être sur la défensive, à s’isoler ou à critiquer à son tour. »  Notre amoureux (se) sera plus réceptif si l’on exprime nos besoins de façon positive. « Quand tu me dis que tu m’aimes, je me sens la femme la plus aimée sur Terre.  Cela me fait un bien fou! » ou simplement « J’ai besoin de t’entendre dire que tu m’aimes ».  Reconnaître les efforts de l’autre pour parler notre langage de l’amour est aussi une attitude gagnante. « Il faut accepter ses maladresses et ne pas s’attendre à la perfection. Si notre partenaire  ...

Violence Conjugale – 184ième partie

Violence conjugale (suite)   1.      Les cadeaux : Prendre le temps de choisir le petit quelque chose qui fera plaisir est une manière de dire à notre conjoint (e) qu’on tient à lui (elle).  2.    Apprendre le langage de l’autre : Même si l’on est polyglotte en matière de langage amoureux, on en préfère souvent un ou deux. Le piège pour le couple, c’est quand chacun donne de l’amour comme il aimerait en recevoir. D’où les malentendus et les déceptions. Pour que l’élu de notre cœur s’épanouisse, la plupart d’entre nous aurait bien sûr avantage à redoubler  d’ardeur  afin de mieux exprimer les sentiments qu’on porte envers la personne aimée. Mais nous devons mettre autant d’ardeur à comprendre le « langage étranger » qu’utilise cette personne.  En apprenant le langage de l’autre, au lieu de lui imposer le nôtre, nous réaliserons que cette personne nous apporte beaucoup plus que nous le croyons. Il serait pitoyable ...

Violence Conjugale – 183ième partie

  Violence conjugale (suite)     1.      Les services rendus :  Proposer à l’être aimé de rester au lit le samedi matin pendant qu’on s’occupe des enfants, régler son problème d’ordinateur, faire un détour pour déposer ses vêtements chez le nettoyeur… Tous ces gestes qui facilitent la vie de l’être aimé ou améliorent son bien-être sont autant de « je t’aime ». À condition toutefois qu’ils soient faits avec l’intention sincère d’aider ou de faire plaisir à notre partenaire.    2.    Le toucher physique : Dans cette catégorie, il y a la sexualité, mais aussi la tendresse.  Pour se sentir aimée, en sécurité et en confiance dans une relation, la personne qui communique avec ce langage amoureux a besoin de gestes affectueux. Plusieurs couples sont en manque de tendresse. Pourtant, se coller devant la télé ou faire un câlin à notre partenaire ce n’est pas compliqué et ça fait beaucoup de bien.   *À suivr...