Violence Conjugale – 184ième partie

Violence conjugale (suite)

 

1.    Les cadeaux :

Prendre le temps de choisir le petit quelque chose qui fera plaisir est une manière de dire à notre conjoint (e) qu’on tient à lui (elle). 

2.  Apprendre le langage de l’autre :

Même si l’on est polyglotte en matière de langage amoureux, on en préfère souvent un ou deux. Le piège pour le couple, c’est quand chacun donne de l’amour comme il aimerait en recevoir. D’où les malentendus et les déceptions. Pour que l’élu de notre cœur s’épanouisse, la plupart d’entre nous aurait bien sûr avantage à redoubler d’ardeur afin de mieux exprimer les sentiments qu’on porte envers la personne aimée. Mais nous devons mettre autant d’ardeur à comprendre le « langage étranger » qu’utilise cette personne.  En apprenant le langage de l’autre, au lieu de lui imposer le nôtre, nous réaliserons que cette personne nous apporte beaucoup plus que nous le croyons. Il serait pitoyable que nous ne jouissions pas d’un amour de qualité simplement parce que nous ne reconnaissons pas la valeur d’un « merveilleux    

Faites attention à la rigidité. Si vous adoptez une approche rigide avec votre partenaire et que vous n’arrivez pas à comprendre son « langage » ou tout autre moyen d’expression non traditionnel qu’il utilise, vous vous privez de la joie de vivre paisiblement dans une relation de couple de qualité pour la seule raison que votre partenaire ne fonctionne pas selon les critères que vous avez arbitrairement imposés. Combattez votre rigidité dans votre façon d’interagir avec l’être aimé. Combattez votre tendance à juger la façon d’interagir de votre partenaire. Faites ce qui fonctionne. 

Ceci étant dit, si votre relation n’est pas totalement ce que vous voudriez qu’elle soit, alors vos réflexions, vos attitudes et vos émotions doivent être remises en question. Vous n’êtes pas parfait, vous commettez des erreurs. Dans la relation, il faut s’efforcer de se connecter à lui (elle) de la façon qui lui plaît.

 

*À suivre*

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