Violence Conjugale – 221ième partie

 

Violence conjugale (suite)


Les cycles naturels

L’hiver

Tout est en dormance silencieuse

Les jours raccourcissent

Les paysages sont dénudés

Les horizons brumeux s’étendent à perte de vue

Tout est hivernation

C’est la froidure qui s’installe


La nature revêt son manteau blanc

Elle est prête pour entrer dans la danse

Des caprices de Dame Neige

Le ballet des flocons

La dance à claquettes des tempêtes

La valse de la poudrerie

La polka de la pluie verglaçante

Toutes les vibrations en cadence de l’Univers

C’est l’hiver… C’est l’hiver… C’est l’hiver.


Le printemps

Saison de renaissance

Tout refait connaissance

Et dans Mère Terre puise leur essence

Pour faire rejaillir la quintessence

De toute la nature en abondance

C’est le printemps porteur d’espérance

Après le sommeil hivernal

La nature se réveille

Tout bourgeonne tout est en éveil,l

Les oiseaux chantent

Les ruisseaux murmurent

La sève monte et coule

Tout est effervescence

Tout chante l’allégresse

Que vienne le printemps si désiré


L’été

Saison qui invite à la rêverie

C’est l’heure de la Nature en beauté

Elle écoute, se recueille et respire

Chaque coin est parsemé de fleurs

Qui réjouissent le regard

Embellissent les demeures au matin clair

Célébrons la joie de vivre

Les cadeaux de l’Univers

Chantez dansez le bonheur où tout notre être plonge

L’élixir de la santé

C’est le temps des rencontres amicales

Des plaisirs de la piscine

Des ballades au clair de lune

Le zéphyr a chassé le noroit

La voûte céleste est parsemée d’étoiles

Goûtez le bonheur du temps qui passe !


L’automne

La palette des coloris s’étend sur les paysages

Touches et teintes nuancées de jaune, de rouge

La nature se pare de ses derniers atours

Les mouvements migratoires s’enchaînent dans les airs

Les forêts et les bois invitent aux balades silencieuses

Le soleil décline les invitations à la danse

Et cède le pas à Dame Pluie

Les sols sont tapissés de feuilles

Tout respire à pas lents

Tout est en veilleuse

Dans une immobilité mesurée

C’est l’automne !!!


*À suivre*


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