Violence Conjugale – 179ième partie
Violence conjugale (suite)
Cette empreinte n’est pas éternelle. Tout laisse à penser qu’au moment d’une rupture amoureuse, la libération de dopamine s’effondre.
Ce qui explique, très froidement et biologiquement là encore je vous l’accorde, le « blues », voire la dépression, que peut entraîner une séparation.
Et après la séparation? Chez les campagnols, la séparation entre partenaires durant quatre semaines (un temps très long pour ces petits rongeurs) efface l’empreinte chimique que provoque l’autre.
Autrement dit, deux campagnols séparés depuis longtemps, redeviennent des campagnols Lamboda l’un pour l’autre, ne provoquant plus la libération de dopamine.
*À suivre*
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