Violence Conjugale – 173ième partie
Violence conjugale (suite)
En 2020 une étude avait déjà permis d’établir médicalement que le cerveau des personnes amoureuses ne fonctionne littéralement pas de la même façon que le cerveau des personnes célibataires : leurs réseaux neuronaux sont organisés différemment.
L’imagerie à résonnance magnétique (IRM) avait en effet démontré qu’une personne au stade précoce de l’amour (durant les premières semaines) avait un cerveau altéré (dont les différentes parties sont moins bien interconnectées) mais plus sensible aux émotions.
Très concrètement, cette étude confirmait que, lorsque l’on tombe amoureux… on a l’esprit ailleurs, et que l’on est même provisoirement un peu « idiot ».
Cette même étude avait, par ailleurs, permis de battre en brèche la théorie jusqu’ici dominante selon laquelle l’amour se traduisait, en termes d’activité cérébrale, par le même « profil » que l’addiction. Un cerveau ni « normal », ni « addict » donc. Alors, quelle est la nature de cette activité cérébrale « amoureuse »? C’est la question à laquelle répond l’étude menée par deux chercheurs Australiens sur 1556 participants amoureux (évidemment).
*À suivre*
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