Violence Conjugale – 96ième partie

Violence conjugale (suite)

 

Elle peut prendre pour substitut d’autres objets ou bien temporairement revenir au Soi. Mais pourquoi ce détournement de la libido de ses objets doit être un processus si douloureux, nous ne le comprenons pas et nous ne pouvons le détruire actuellement d’aucune hypothèse.  Nous voyons seulement que la libido se cramponne à ses objets et ne peut pas renouer à ceux qu’elle a perdus, lorsque le substitut se trouve disponible. C’est bien là le deuil. 

Retournons aux hommes violents

D’après Godebski, prisonnier d’une vision machiste et patriarcale de leur rôle, ils ont l’impression d’avoir été poussés à bout, d’être les victimes de l’histoire, de frapper pour ne pas perdre la face ou le respect de la femme. Car, depuis quelques années, le sujet des violences des hommes fait régulièrement la une des journaux et la parole des femmes est enfin prise en compte. Les hommes tapent, regrettent, souvent, et recommencent le cycle.

 

*À suivre*

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