La Mort - 13e partie
Nos vies coulent de formes sans existence. Des existences sans les forgés des formes de nos traits personnels. Des existences aux formes de la religieuse des idées de nos soi mais, rarement selon nos propres forgés spirituels ou temporels. La vie coule difficilement. Nos vies passent en saccades, selon une volonté rare, issue, émise de soi. Aux rythmes des systèmes politiques et économiques, des ambivalences religieuses, des oui-dire envahissants. Oh! La chrétienne Souvent morte de honte Aux rythmes des coutumes, déjà perdues, dans les mythes récents venus d’hier. Nous perdons souvent l’essence de nos vies, de nos existences, parce que nous n’avons jamais acquis la notion principale de nos fins : la mort. La mort, là, dans notre première urine. La mort, là, dans notre première tétée. On manque la vie à étouffer les réalités mortelles de nos existences. On passe à côté de nos nous-mêmes choses : se voir en décès. Nos vies, nos existences, doivent servir de liens entre nos nai...